Tous différents mais certains plus que d’autres. Cela commence par quelques paréidolies, le célèbre cri de Munch, un bourru croisé sur le chemin, un monstre velu aux multiples bras, un autre qui surgit du bois…
Quelques valeureux battus par les vents, s’accrochant à la falaise, cherchant la lumière. Mon préféré, immense chêne qui aurait pu servir de cache à quelque célèbre chouan, qui monte la garde au bord de l’Étang de Tréauray.
Des tourmentés, des arbres morts dont la beauté subsiste. Un autre couché par une tempête mais qui n’a pas dit son dernier mot.
Quelques originaux qui ne font rien comme les autres, je pense à celui dont il ne reste que le tronc après avoir été amputé des racines.
Je termine non sans un pincement au cœur par un Goliath terrassé.
Texte et photos : P. Lecouffe
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