Stage Photo Brocéliande : Compte-rendu

Stage Photo Brocéliande

Compte rendu du stage photo Brocéliande du 9 mai 2017.

Nous étions peu nombreux, une demi-douzaine. Lorsque j’ai proposé cette randonnée, j’ai eu beaucoup de messages de personnes intéressées qui n’étaient pas disponibles en semaine. Promis, la prochaine sortie de ce type aura lieu un samedi !

Distance très courte mais intérêt maximum !

Nous avons marché seulement trois kilomètres, à la vitesse vertigineuse de 0,9 Km/h. Ce stage photo Brocéliande fut pourtant passionnant, au dire de tous les participants, grâce au talent de conteuse de Marie.

Présentation de la forêt

Celle-ci nous présente d’abord la géographie générale de la forêt de Paimpont ou de Brocéliande, 9000 ha dont 5000 ha réservés au camp militaire, au sud de Paimpont. Promis, nous nous tiendrons éloignés du camp militaire. D’ailleurs de fortes explosions viennent nous mettre en garde !

La balade et les légendes

Nous commençons la balade. Pour chaque lieu, chaque groupe de rochers, chaque arbre remarquable, Marie nous confie la légende. Mais chut, il ne faut rien dévoiler ici, sous peine d’être statufié sur place. Je ne suis pas certain mais dans le doute !

De ce plateau, couvert d’asphodèles, on peut voir au loin. Le temps est de la partie.

Nous reprenons la marche pour parvenir à l’Hôtié de Viviane. Marie nous y raconte la légende, nous parle de cercles de fées. Elle s’inquiète du retard de deux participants, auraient-ils été ensorcelés ? Non, ce sont des photographes qui prennent leur temps.

Un petit détour par la couronne de Merlin, afin de nous montrer le caractère accidenté de la forêt, collines et vallées à perte de vue.

La recherche des lutins

Certains d’entre nous commencent alors à identifier les korrigans et lutins qui se cachent à notre approche. Incroyable leur faculté à se transformer en branchages ou écorce. Incroyable aussi notre faculté à les identifier, cela s’appelle “Paréidolie”.

Nous descendons maintenant au fond du Val sans Retour. Marie nous explique le pourquoi de ce nom qui nous glace d’effroi. Mais ce n’est qu’une légende et cela se passait dans un autre monde…

Paysages magnifiques, cours d’eau, petits lacs, beaucoup de choses à photographier.

Le repas à Campénéac

Mais si les kilomètres ne s’accumulent pas, le temps n’oublie pas de défiler et nous devons faire marche arrière pour nous retrouver au restaurant de Campénéac à 13 heures.

Nous y parlons photo, nous en commentons quelques-unes sur une tablette grand format, je donne quelques conseils et la matinée s’achève, après le bon repas, par un café gourmand.

Nous convenons que les photographes m’envoient leurs photos pour que le les commente. Je leur offrirai en outre un tirage 20 cm x 30 cm de leur choix.